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Titre : Introduction au cinéma de Guy Debord et de l'avant-garde situationniste Type de document : texte imprimé Editeur : Sulliver Année de publication : 2006 Collection : Importance : 121 p Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35122-002-3 Tags : Littérature générale Littérature Photographie Cinéma Écrits sur l'art Index. décimale : Résumé : La réapparition des films de Debord, après 20 ans d'absence, relève d'une duplicité certaine : la machine récupératrice va sen emparer, faisant des films un objet de fétiche pour contemplateurs béats et "branchés" ; pire, elle en fera des œuvres d'art, des objets culturels, quelques avatars de l'inoffensif cinéma expérimental. Hors des contextes et des objectifs d'action directe comment réagir à l'une des phrases-clés du Film Hurlements en faveur de Sade : " Le cinéma est mort. " ? Comment comprendre l'affirmation dans Guy Debord son art et son temps : " Et maintenant, je me propose d'être anti-télévisuel dans la forme comme j'ai pu l'être dans le contenu " ? Les alliés du spectacle édulcoreront le contenu politique des films, feindront de ne pas les comprendre ; mieux : ils classeront les idées dans les musées mortifères de leur histoire, dans les tiroirs poussiéreux de l'académisme. Non, l'art n'est plus aujourd'hui que l'ennemi de la conscience ; la culture n'est plus qu'un simulacre qui sert à légitimer le prix de la marchandise, et l'histoire politique est aux mains de désinformateurs patentés. Mais pourquoi retarder l'échéance ? Debord connaissait déjà ces mécanismes ; renversant Hegel qui écrivait que le faux était un moment du vrai, il savait que le vrai n'est plus qu'un moment du faux. Le spectateur d'aujourd'hui, dont on a rempli la courte mémoire de lambeaux épars et décomposés d'une illusoire conscience historique, dont on a programmé la liberté, aliéné le corps, pardonné tous les péchés, n'est pas seulement entouré par le faux, il en est lui-même un produit, et il le sait. Nous parlions de duplicité, l'autre versant en est ce moment du vrai sur nos écrans ; tout comme l'histoire de la révolution espagnole ou celle des conseils ouvriers de Hongrie demeurent les terrains de luttes où les positions des uns et des autres se dévoilent, la ressortie des films de Debord pourra tout au moins servir à ceci : faire parader leurs ennemis. En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782351220023/unimarc_utf-8 Introduction au cinéma de Guy Debord et de l'avant-garde situationniste [texte imprimé] . - [S.l. : s.n.], 2006 . - 121 p ; 19 cm. - () .
ISBN : 978-2-35122-002-3
Tags : Littérature générale Littérature Photographie Cinéma Écrits sur l'art Index. décimale : Résumé : La réapparition des films de Debord, après 20 ans d'absence, relève d'une duplicité certaine : la machine récupératrice va sen emparer, faisant des films un objet de fétiche pour contemplateurs béats et "branchés" ; pire, elle en fera des œuvres d'art, des objets culturels, quelques avatars de l'inoffensif cinéma expérimental. Hors des contextes et des objectifs d'action directe comment réagir à l'une des phrases-clés du Film Hurlements en faveur de Sade : " Le cinéma est mort. " ? Comment comprendre l'affirmation dans Guy Debord son art et son temps : " Et maintenant, je me propose d'être anti-télévisuel dans la forme comme j'ai pu l'être dans le contenu " ? Les alliés du spectacle édulcoreront le contenu politique des films, feindront de ne pas les comprendre ; mieux : ils classeront les idées dans les musées mortifères de leur histoire, dans les tiroirs poussiéreux de l'académisme. Non, l'art n'est plus aujourd'hui que l'ennemi de la conscience ; la culture n'est plus qu'un simulacre qui sert à légitimer le prix de la marchandise, et l'histoire politique est aux mains de désinformateurs patentés. Mais pourquoi retarder l'échéance ? Debord connaissait déjà ces mécanismes ; renversant Hegel qui écrivait que le faux était un moment du vrai, il savait que le vrai n'est plus qu'un moment du faux. Le spectateur d'aujourd'hui, dont on a rempli la courte mémoire de lambeaux épars et décomposés d'une illusoire conscience historique, dont on a programmé la liberté, aliéné le corps, pardonné tous les péchés, n'est pas seulement entouré par le faux, il en est lui-même un produit, et il le sait. Nous parlions de duplicité, l'autre versant en est ce moment du vrai sur nos écrans ; tout comme l'histoire de la révolution espagnole ou celle des conseils ouvriers de Hongrie demeurent les terrains de luttes où les positions des uns et des autres se dévoilent, la ressortie des films de Debord pourra tout au moins servir à ceci : faire parader leurs ennemis. En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782351220023/unimarc_utf-8 Exemplaires
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Titre : L'adaptation / le cinéma a tant besoin d'histoires : Le Cinéma a Tant Besoin d'Histoires Type de document : texte imprimé Editeur : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2006 Collection : Importance : 96 p Format : 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-441-1 Tags : Arts Cinéma Écrits sur l'art Loisirs - Spectacles Musique Histoire de l'art, Etudes Etudes artistiques Index. décimale : Résumé : L'adaptation des œuvres littéraires en films est un sujet de prédilection pour comprendre la place qu'occupe aujourd'hui le cinéma et pour réfléchir sur deux pratiques familières et dissemblables : celle du lecteur et celle du spectateur. Dès ses débuts, le cinéma adapte à l'écran des œuvres littéraires, et le cinéma parlant renforce encore davantage ce phénomène. L'auteur dégage dans son ouvrage ce qui est commun aux deux médias, et ce qui les différencie : le cinéma est certes soumis comme une bonne part de la littérature au besoin de " raconter une histoire ". Dans le même temps, il est représentation, image fondée sur des codes issus de la peinture, de la photo, du théâtre. Et enfin, il est fait de cadrage, de montage, de temps, de corps, d'espaces et de sons. Il montre en quoi la narration cinématographique est bien spécifique avec sa capacité à créer par les molles d'expression qui lui sont propres une gamme inépuisable de significations et d'émotions. Les questions de la fidélité et de la trahison, de l'écriture littéraire et de l'écriture du scénario et des dialogues y sont très concrètement abordées à partir d'exemples précis et documentés : Renoir adapte Maupassant, Gorki ou Flaubert, tandis que Welles adapte Shakespeare et David Cronenberg William Burroughs ; Robert Bresson adapte Le journal d'un curé de campagne quand les frères Coen choisissent L'Odyssée et Tim ni Burton Charlie et la chocolaterie. En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782866424411/unimarc_utf-8 L'adaptation / le cinéma a tant besoin d'histoires : Le Cinéma a Tant Besoin d'Histoires [texte imprimé] . - [S.l. : s.n.], 2006 . - 96 p ; 13 cm. - () .
ISBN : 978-2-86642-441-1
Tags : Arts Cinéma Écrits sur l'art Loisirs - Spectacles Musique Histoire de l'art, Etudes Etudes artistiques Index. décimale : Résumé : L'adaptation des œuvres littéraires en films est un sujet de prédilection pour comprendre la place qu'occupe aujourd'hui le cinéma et pour réfléchir sur deux pratiques familières et dissemblables : celle du lecteur et celle du spectateur. Dès ses débuts, le cinéma adapte à l'écran des œuvres littéraires, et le cinéma parlant renforce encore davantage ce phénomène. L'auteur dégage dans son ouvrage ce qui est commun aux deux médias, et ce qui les différencie : le cinéma est certes soumis comme une bonne part de la littérature au besoin de " raconter une histoire ". Dans le même temps, il est représentation, image fondée sur des codes issus de la peinture, de la photo, du théâtre. Et enfin, il est fait de cadrage, de montage, de temps, de corps, d'espaces et de sons. Il montre en quoi la narration cinématographique est bien spécifique avec sa capacité à créer par les molles d'expression qui lui sont propres une gamme inépuisable de significations et d'émotions. Les questions de la fidélité et de la trahison, de l'écriture littéraire et de l'écriture du scénario et des dialogues y sont très concrètement abordées à partir d'exemples précis et documentés : Renoir adapte Maupassant, Gorki ou Flaubert, tandis que Welles adapte Shakespeare et David Cronenberg William Burroughs ; Robert Bresson adapte Le journal d'un curé de campagne quand les frères Coen choisissent L'Odyssée et Tim ni Burton Charlie et la chocolaterie. En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782866424411/unimarc_utf-8 Exemplaires
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Titre : Horizo cinema Type de document : texte imprimé Editeur : Cahiers du cinéma ? Éditions de l'Étoile Année de publication : 2006 Collection : Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-449-7 Tags : Cinéma Etudes artistiques Écrits sur l'art Histoire de l'art, Etudes Photographie Document Philosophie Index. décimale : En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782866424497/unimarc_utf-8 Horizo cinema [texte imprimé] . - [S.l. : s.n.], 2006 . - ; 17 cm. - () .
ISBN : 978-2-86642-449-7Exemplaires
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